- Exemples :
- « délibérations »
- « Centre de recyclage »
- « Collecte des bacs »
- « PLU »
- « Accéder au très haut débit »
- « Tram A desserte aéroport »
- « ZFE »
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Crise, jeunesses, précarités, initiatives : de la lutte contre les précarités au soutien de leurs initiatives, que peut la Métropole pour ses jeunesses (aux difficultés mises en lumière par la crise) ? et vice versa.
La crise sanitaire a à la fois aggravé et mis en lumière les précarités et nos fragilités. Souvent en négatif mais aussi parfois en positif, contraints et forcés ou par choix accéléré, nos rapports aux autres, à la ville, au logement, à la santé, à l’alimentation, au sport, à la mobilité, à l’emploi, à la culture… ont été modifiés.
Et les jeunes dans tout ça ? Tour à tour culpabilisés et plaints, ils ont vécu cette crise de manière singulière, collective et individuelle, entre grande souffrance et impulsion de solutions. Et si on allait à leur rencontre pour écouter leurs besoins ? Et si on leur faisait confiance pour y répondre avec eux en soutenant leurs initiatives ? De quels leviers dispose la Métropole pour cela ?
Le C2D a souhaité s'autosaisir de ce sujet pour l'exercice 2021-2022.
Découvrez un triptyque composé d'un "vaisseau spatial" installé aux Bassins à flot, d'un pavillon bibliothèque déclinant la pensée de Jacques Ellul dans le Parc aux Angéliques et d'une bibliothèque de science-fiction installée en hauteur, sur la rive droite floiracaise de la Garonne.
La maison aux personnages se présente comme un livre ouvert, auquel chacun peut donner le sens qu’il désire. À travers des narrations individuelles, elle est une réflexion universelle sur la condition humaine.
Sur le garde-corps du pont flotte une phrase de Roland Barthes, visible le jour comme la nuit.
La vibration de cette sculpture d'allure discrète propose de transformer le temps d'attente en expérience sensible, en percevant l'onde de l'arrivée d'un tramway par simple contact corporel.
Les fées font directement référence au patrimoine industriel qui façonne les rives de l’estuaire. Pour la station La Gardette Bassens Carbon-Blanc, Antoine Dorotte a imaginé une monumentale sculpture en métal qui s’inspire des silhouettes des pylônes de lignes à haute tension, et les détourne.