- Exemples :
- « délibérations »
- « Centre de recyclage »
- « Collecte des bacs »
- « PLU »
- « Accéder au très haut débit »
- « Tram A desserte aéroport »
- « ZFE »
Recherche
Le parc des Coteaux, succession de 12 parcs publics situés sur la rive droite, en surplomb de la Garonne, couvre 500 hectares et 5 communes de la métropole : Floirac, Cenon, Lormont, Bassens et Carbon-Blanc. Depuis 2013, une gouvernance partagée, animée par le GPV Rive Droite, permet la mise en œuvre d’un plan de gestion écologique et des usages sur le parc des Coteaux.
L'accès au très haut débit pour les professionnels est une exigence. Inolia répond à ce besoin.
Issus d’un même immeuble, d’un même quartier, voire d’une même entreprise, des groupes d’habitants travaillent ensemble un lopin de terre pour y cultiver légumes, fruits, fleurs… et convivialité !
Le projet concerne les communes de Bordeaux, Cenon et Lormont et se développe sur une emprise ferroviaire située entre la Garonne et l'avenue Thiers, de plus de 3 km de long et près de 10 ha en surface, en grande partie désaffectée et sur laquelle ne persiste que du transport de marchandises à raison d'une trentaine de trains par an en moyenne, soit un train par semaine.
Situé sur d'anciens terrains du Grand Port autonome, la Ville de Bordeaux aménage le Parc aux Angéliques sur la rive droite de la Garonne, du quai de Brazza au nord au quai Deschamps au sud sur une partie de l'opération Euratlantique. Il va progressivement conquérir les berges pour rejoindre le pont Chaban-Delmas.
Le site de Peychaud est situé dans les marais de la presqu’île d’Ambès entre le Petit et le Grand Marais et occupe une surface de 200 ha.
Rattachée à la commune de Latresne, l'Île d'Arcins se situe à proximité de Bègles, Bouliac et Villenave d'Ornon, non loin des ponts François-Mitterrand et Simone-Veil.
D’une superficie de 37 ha, elle s'étire sur environ 2 km de long et 300 m de large.
Ce site classé Natura 2000 et inscrit en zone naturelle au Plan local d’urbanisme a été acquis par Bordeaux Métropole en juin 2024. Des études vont être menées pour connaître son potentiel écologique et les possibilités de valorisation.