Les aménagements

Pensé pour rééquilibrer les déplacements et améliorer le lien entre les deux rives, le pont Simone-Veil valorise les modes doux avec :  

• une piste cyclable bi-directionnelle d’une largeur de 4 m  
• une aire piétonne de 15 m de large, conçue comme une véritable esplanade publique pouvant accueillir diverses typologies d’événements ou d’animations 

En termes de circulation, le pont Simone-Veil offre :  

• 2x2 voies en amont, dédiées à la circulation automobile, pour un trafic envisagé de 30 000 véhicules/ jour 
• 2 voies centrales réservées aux transports en commun (dont le bus express) en site propre

La construction de ce nouveau pont sur la Garonne, reliant Bordeaux, Bègles et Floirac, répond à des enjeux stratégiques majeurs. 

Depuis 1995, une nouvelle approche de l’aménagement du territoire privilégie la densification et la concentration urbaine plutôt que l’étalement. 

La création d’un nouveau franchissement entre les ponts Saint-Jean et François Mitterrand est depuis longtemps envisagée dans les plans d’urbanisme. 

Ce nouveau pont répond à la nécessité de développer les réseaux urbains de déplacement à l’intérieur de la rocade, particulièrement dans le centre-ville. 

Le pont accompagnera les évolutions territoriales liées à la mise en oeuvre des grands projets Euratlantique (rives droite et gauche) ainsi que la construction de l'Arkéa Arena et la clinique du Tondu (rive droite). Ces projets entraîneront une nouvelle dynamique urbaine, une augmentation significative de la population et des emplois, et donc une augmentation des besoins en déplacements