Conseil du 26 et 27 septembre 2024
Retrouvez les principales délibérations adoptées par le Conseil de…
Grands événements, nature, mobilité… de nombreux projets de Bordeaux Métropole font appel au mécénat.
En devenant mécène d'un projet de la métropole de Bordeaux, vous pouvez contribuer à la réalisation d'initiatives innovantes et durables qui améliorent la qualité de vie de la communauté locale et renforcent l'attractivité de la région
Bordeaux Métropole a lancé en 2021 une opération d’ampleur : planter au cours des prochaines années 1 million d’arbres sur son territoire. L’ambition affichée est d’appréhender et de remodeler différemment la ville, en prenant systématiquement en compte la place du végétal, tout en privilégiant la diversité des espaces, des essences et des publics.
Cette démarche emblématique vise à lutter contre le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique, en cohérence avec les objectifs du Plan climat de Bordeaux Métropole. Elle appelle à la mobilisation de tous les acteurs, publics comme privés et doit permettre à chacun de s’impliquer à sa mesure…
Où planter ? Que planter ?
La réussite du processus de plantation nécessite de privilégier des essences locales, ou tout au moins adaptées aux conditions du sol et du climat. C’est pourquoi des jeunes plants de la marque « Végétal Local » sont utilisés pour l’essentiel des opérations, en alternance avec des arbres-tiges, notamment pour la création de zones d’ombrage.
Les plantations se situeront tant sur des parcelles d’ores et déjà plantées afin d’étoffer le nombre de sujets que sur des espaces aujourd’hui minéraux, comme des places, des zones d’habitat, ou encore des zones économiques : - plantations de jeunes plants pour haies bocagères de type agroforesterie, de micro-forêt, d’îlots forestiers, de reverdissement - plantations d’arbres de grande taille hors forêt urbaine (arbres d’alignement par exemple en sol naturel) - plantations sur des sols artificialisés
Une image contenant arbre, plein air, personne, debout
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Pourquoi planter ?
Les arbres apportent de nombreux services écosystémiques. Ils luttent contre le réchauffement climatique en fournissant des îlots de fraicheur. Ils contribuent également à une meilleure qualité de l’air en piégeant les particules et les polluants atmosphériques. Enfin, ils participent à la réintroduction de la biodiversité en ville et à la revivification des écosystèmes locaux.
Le 1er janvier 2017, le musée de la Création Franche est reconnu Equipement d’Intérêt Métropolitain. Depuis lors, Bordeaux Métropole et la ville de Bègles travaillent conjointement à un projet d’extension et de rénovation du musée, abrité dans une ancienne maison d’habitation un peu vétuste. La collection Création Franche y est à l’étroit ; le musée est freiné dans son développement tant en termes d’accueil des publics que de programmation.
Ces travaux ont pour objectifs :
Novembre 2020 : lancement du concours d’architecture
Février 2021 : démarrage du chantier de récolement / inventaire
Eté 2021 : désignation de l’architecte
Septembre 2021 : lancement de la campagne de mécénat et de la campagne de financement participatif visant à restaurer l’œuvre emblématique du musée « Au crépuscule d’un automne » et démarrage du déménagement de la collection
Automne 2023 : début des travaux pour une durée de 18 mois
2025 : réouverture du musée au public
Le musée a officiellement fermé ses portes au public depuis le 11 janvier 2021 afin de mener certaines opérations préalables au démarrage du chantier du bâtiment. Toutes les collections ont été inventoriées et transférées dans un lieu de stockage en attendant la fin des travaux.
La grue Wellman est un appareil de levage qui trône à 27 mètres de hauteur. Elle est installée sur les quais du port de Bordeaux en 1947, faisant partie d'un lot d'équipement composé de 17 grues données à la ville de Bordeaux dans le cadre du Plan Marshall. Les grues Wellman étaient réparties le long des rives de Bordeaux et elles se trouvaient en majorité sur la rive droite.
En 1982, après quarante ans d'utilisation, la grue Wellman est désarmée, ce qui met fin à sa vocation de levage de charge. Elle est ensuite déplacée au niveau des bassins à flots, et en 1998, la ville de Bordeaux devient propriétaire de ce patrimoine industriel.
La grue Wellman et son homologue française la grue Caillard, sont classées monument historique en 2014. Il s'agit des deux dernières grues du Bassin à flots témoignant de l'ancienne activité portuaire de Bordeaux.
Depuis 2017, la ville de Bordeaux a entrepris un projet de restauration en mécénat de compétences avec une entreprise d'alpinistes-ouvriers, Adrénaline. C’est aussi un projet pédagogique d’envergure puisque des élèves de lycées techniques participent dans une certaine mesure à la restauration. Ils s'occupent de nettoyer le site de la grue, de repeindre la structure et apprennent des techniques de travail en hauteur (monter des échafaudages, des filets et travailler avec des harnais de sécurité). Ils se forment aussi à la menuiserie ou encore à la serrurerie.
La grue Wellman n’est plus donc seulement un vestige du patrimoine de la ville de Bordeaux, c’est maintenant un projet complexe de mécénat de compétences et un chantier pédagogique et d’insertion.
Le musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux se situe en plein centre d’une ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. Emblème de ce patrimoine, il évoque l’atmosphère d’une maison de l’aristocratie bordelaise au XVIIIe siècle. Il est résolument tourné vers l’époque contemporaine et présente des œuvres et des expositions de design, avec l’ambition de faire dialoguer arts décoratifs et design, passé et présent, mais aussi artistes et entreprises.
Le madd-bordeaux porte un projet de développement ambitieux. Pour le mener à bien, une importante opération de travaux est lancée, afin d’adapter les espaces emblématiques du musée : l’hôtel de Lalande et l’ancienne prison qui se trouve à l’arrière.
Un lieu de découverte et de création
L’objectif, développé dans le projet scientifique et culturel du musée, est de faire vivre ces deux bâtiments au même rythme.
Pour cela, le musée se donne pour rôle d’accueillir les artistes et les designers et de contribuer à créer avec eux des opportunités de rencontres et de développement de projets, en lien avec les entreprises et les étudiant.e.s.
Le musée fait également une priorité de sa mission éducative, avec la conviction que c’est principalement par l’éducation auprès des enfants que l’on contribue à la démocratisation de la culture. Il génère ainsi le plus de rencontres possibles entre créateurs et enfants. Fenêtre ouverte sur le monde, le madd-bordeaux est un espace culturel vivant, révélateur de talents, un lieu d’éducation et de rencontres, tourné vers les secteurs entrepreneurial et créatif bordelais.
« Château Haut-Bailly, mécène d’honneur »
La ville du Bouscat possède depuis 1990 sur sa commune un joyau d’architecture situé dans le parc boisé de la Chêneraie. Cet écrin de verdure de 11 hectares héberge plusieurs bâtiments, dont certains sont inscrits aux Monuments Historiques par arrêté du 6 mars 2009 : le Castel d’Andorte, les salles du Carré, la Chapelle et son pendant symétrique.
Le projet de réhabilitation concerne dans une première phase :
Un peu d’histoire
Le chanoine Jean de Laborde, sacriste du chapitre de Saint-Seurin, achetait, le 5 septembre 1785, la terre de Castel d’Andorte. Sa nouvelle maison de campagne devait commander un domaine viticole et d’agrément comprenant, outre les terres, le jardin et la demeure : un chai et son cuvier, un logement pour le fermier, des écuries et remises et une chapelle. Cette construction attribuée à l‘architecte François Lhôte - élève du célèbre Victor Louis, l’architecte du Grand Théâtre de Bordeaux - était flanquée de quatre bâtiments d’exploitation avec, autour de la maison, des vignes, un jardin potager et une sorte de labyrinthe en palissades de charmilles, seul véritable agrément de ce petit domaine. Une aire en demi-cercle en face du château, toujours remarquable actuellement, est tout à fait caractéristique des maisons de plaisance de la banlieue bordelaise de cette période.
Un projet culturel concerté, accessible à tous
À l’issue d’une large consultation citoyenne menée en 2015 et 2016, la thématique d’un établissement autour des arts du spectacle vivant a été retenue : une école municipale de danse, des ateliers de théâtre, des lieux d’exposition, etc. D’autres pratiques sont envisagées comme la photo, la création de décors ou le numérique, etc. Cette future vocation trouve en effet sa cohérence dans l’ensemble du site avec la proximité d’activités associatives et sportives, d’établissements scolaires, de l’école de musique et les nombreuses activités culturelles et d’animations qui sont proposées dans le parc de la Chêneraie. La ville affirme également sa volonté d’accueillir tous les publics ; multigénérationnel, amateurs et professionnels (accueil d‘artistes en résidence) ou associatifs.
Kauffman & Broad
Premier franchissement sur la Garonne datant du début du XIXème siècle, inscrit au titre des Monuments historiques, le pont de pierre est l’élément de patrimoine le plus emblématique de cet ensemble remarquable. Il rattache le centre-ville de Bordeaux au débouché du cours Victor Hugo au quartier de La Bastide ; avec le passage du tramway, il a marqué le désenclavement définitif de la rive droite de Bordeaux. Véritable lien historique et technologique entre les deux rives, cet ouvrage d’art à l’esthétique classique s’inscrit dans le paysage urbain comme un symbole fort de la Métropole.
Le pont de pierre, construit sur ordre de Napoléon Ier entre 1810 et 1822, a été conçu par les ingénieurs Claude Deschamps et Jean-Baptiste Basilide Billaudel.
D’une longueur de 487 mètres, l’ouvrage présente 17 arches construites sur 16 piles. La largeur du pont, initialement de 14,8 mètres, a été élargie à 19 mètres en 1954.
Le pont de pierre est un ouvrage en maçonnerie, qui se distingue dans sa conception par la création d’espaces vides (arches et tympan des voûtes) allégeant le poids des matériaux de construction. L’ouvrage, parcouru par six galeries longitudinales, est en effet principalement constitué de briquettes, faites de vase limoneuse de la Garonne et cuites sur place, utilisées afin d’alléger la structure.
La surveillance technique des déplacements du pont est assurée par des capteurs qui enregistrent en permanence les mouvements verticaux, les inclinaisons et déversements de chacune des piles ainsi que les évolutions éventuelles des fissures sur certains appuis. Des inspections régulières détaillées portent également sur la structure du pont (intérieure et extérieure) et sur les fonds au pourtour des appuis.
Le pont souffrait considérablement de son implantation par pieux sur le lit de la Garonne. Soumis aux flux et reflux de la marée amplifiés par les dragages et les aménagements portuaires, il présentait de nombreuses pathologies dont certaines auraient pu entraîner une instabilité générale de ses fondations s’il n’était pas consolidé.
Une première opération, programmée entre le printemps 2017 et l’été 2018, a consisté à conforter les talus sous-fluviaux.
Appartenant au fonds de la Ville de Bordeaux et conservé aux Archives Bordeaux Métropole, ce portefeuille se compose de 70 plans du projet de construction du monument édifié à partir de 1773 par l’architecte bordelais Victor Louis. Ces dessins originaux à l’encre rehaussés de gouache et d’aquarelle, présentent les étapes successives proposées par l’architecte : façade, grand escalier, vue des loges et des combles, détails décoratifs, etc. Ils constituent un recueil unique de ce bâtiment emblématique de la ville, classé Monument historique en 1899 et symbole de l’âge d’or bordelais.
Endommagé lors de l’incendie de l’Hôtel de ville de Bordeaux en 1862, où il était alors conservé, ce corpus nécessitait une restauration d’envergure afin de restituer son intégrité à cet ensemble qui, en dépit de consolidations effectuées dans la seconde moitié du XIXe siècle, continuait de se dégrader lentement. Ce projet s’inscrit dans un plan global de restauration des documents brûlés du fonds ancien initié par les Archives depuis les années 2000 et qui y consacre une ligne budgétaire annuelle conséquente, mais insuffisante au regard de l’ampleur de la tâche.
Les Archives Bordeaux Métropole collectent, conservent, classent et communiquent au public les archives qui leur sont confiées tant par les administrations métropolitaine et municipales que par des particuliers, familles, entreprises ou associations. Elles proposent un programme d’expositions, de visites, de conférences et d’ateliers. Les Archives Bordeaux Métropole sont l’un des trois premiers services intercommunaux et communaux de France par l’importance de leurs fonds.
Fermé en 2009 pour rénovation, le Muséum de Bordeaux - sciences et nature figure parmi les premières collections publiques créées au lendemain de la Révolution française à partir de cabinets privés. Musée municipal mais aussi « Musée de France », il se conforme aux obligations du Ministère de la Culture. Sa réhabilitation était devenue indispensable à la fois pour des questions de mise aux normes du bâtiment, de sécurité et de conservation des collections mais aussi afin de proposer une muséographie adaptée aux attentes et aux nouveaux usages des publics.
Sa rénovation est le point central de son renouveau. Dans cette perspective, elle met en valeur les éléments patrimoniaux significatifs du bâtiment tout en introduisant des technologies innovantes offrant une véritable immersion à ses publics.
Le projet architectural conjugue, avec ingéniosité, les normes de conservation des collections, d’accueil de tous les publics, tout en minimisant la consommation énergétique. La pose d’un récupérateur de calories dans le réseau d’assainissement rend ce chantier emblématique et le met en cohérence avec le projet d’établissement autour du respect de l’environnement et de la biodiversité. Dans un contexte inédit d’interrogations sur la responsabilité humaine à propos de la préservation de l’environnement et de la biodiversité, l’acquisition d’une véritable culture scientifique est de plus en plus indispensable aux citoyens. Les muséums d’histoire naturelle sont devenus de véritables lieux de sensibilisation et de formation. S’appuyant sur le patrimoine naturel que représentent les collections, ils sont des lieux de médiation entre le chercheur et le citoyen, des lieux de débats, des lieux «multi-approche» où les prises de conscience peuvent naître et se développer.
Plus grand muséum de la Nouvelle-Aquitaine, il a pris, lors de sa réouverture en 2019, sa place parmi les premiers muséums de France et d’Europe. Remarquable à plus d’un titre, comme sa nouvelle muséographie, le Musée des tout-petits et son spectacle multimédia, il s’inscrit dans une dynamique de médiation qui place le public au cœur du projet.
Pour les 20 ans de la Fête du Vin, en 2018, Bordeaux a accueilli l’arrivée de la Tall Ships Regatta, une régate de grands voiliers, qui s’est courue pour cette édition entre Liverpool, Dublin et Bordeaux. A cette occasion, la Fête du Vin a lancé un appel à candidatures pour devenir apprenti matelot et participer à l’une ou les deux étapes de la course.
Bordeaux Métropole et une entreprise mécène s’y sont associés pour donner l’opportunité à 46 jeunes entre 15 et 25 ans et personnes en situation de handicap (et leurs accompagnateurs) de réaliser l’étape Dublin-Bordeaux de la course.
La crise sanitaire du Covid-19 a touché la France depuis mars 2020 avec un état d’urgence sanitaire déclaré le 23 mars 2020.
Pour lutter contre la pandémie et soutenir ses habitants, Bordeaux Métropole avait déployé un arsenal important de mesures allant de la distribution de masques à la population au soutien aux entreprises du territoire en difficulté, en passant par le soutien aux associations et aux producteurs locaux et le déploiement de nouvelles pistes cyclables temporaires pour faciliter les déplacements.
Très tôt, Bordeaux Métropole avait également souhaité se mobiliser pour faciliter le travail et l’hébergement des soignants de la métropole pendant cette période de crise afin de soutenir les professionnels impactés en première ligne par la lutte contre le Covid-19.
Croisieurope
Conçus par Gérard Mercator, cartographe et mathématicien flamand et complétés par le graveur Jodocus Hondius, ces atlas constituent une représentation du monde sous forme de lignes de longitude parallèles, permettant notamment la navigation en mer.
Publiés en 1606, ils connaissent un immense succès éditorial dans toute l’Europe du XVIIe siècle et fondent la cartographie moderne : c’est cette « projection de Mercator » qui est aujourd’hui encore la plus utilisée pour produire des cartes.
Endommagés par le temps et les manipulations intensives, ces magnifiques recueils de cartes entièrement colorés à la main nécessitaient une restauration afin de pouvoir être à nouveau consultés.
Depuis 1740, les Bibliothèques de Bordeaux ont montré leur capacité à préserver l’équilibre entre un héritage prestigieux et des choix novateurs pour répondre aux récents besoins d’un public sans cesse élargi. Issues de l’Académie de Bordeaux, les Bibliothèques de Bordeaux se sont d’abord affirmées comme un lieu de conservation pour 500 000 documents anciens, puis comme un lieu d’étude et un remarquable instrument de travail pour les érudits et les chercheurs.
Les Bibliothèques de Bordeaux forment aujourd’hui un réseau de 11 établissements répartis dans toute la ville. Elles proposent chaque jour des services variés et innovants, allant du traditionnel prêt de documents (livres et revues, mais aussi CD, DVD et jeux vidéo) aux ressources numériques, en passant par toutes sortes d’ateliers et d’animations.
La Maison des Associations, implantée en plein cœur de la ville, répond aux besoins du tissu associatif d’un lieu partagé pour travailler, assurer des permanences, rencontrer d’autres acteurs associatifs et pour développer échanges et collaborations.
Entreprise mécène :
A la fois événement estival et vecteur de promotion touristique via la culture sur le territoire de la métropole bordelaise, l’Eté Métropolitain invite depuis 2012 habitants et visiteurs à poser un autre regard sur leur environnement, de villégiature ou de résidence, grâce à une programmation artistique pluridisciplinaire.
Entreprises mécènes :
Pour la semaine de la mobilité 2018, le Président de la Métropole avait décidé de retenir la mobilité des femmes comme thématique et s’était engagé à mener un certain nombre d’actions permettant d’améliorer les conditions de déplacements des femmes sur la Métropole, notamment pendant la Journée des droits de la Femme, le 8 mars.
Entreprises mécènes :
Dans le cadre de sa compétence métropolitaine, Bordeaux Métropole souhaitait implanter une borne électrique publique à l’usage des véhicules électriques ou hybrides rechargeables.
Entreprises mécènes :
Les Refuges Périurbains, rencontre entre art et urbanisme, sont 11 habitats insolites répartis sur le territoire de la Métropole et sont accessible au grand public de mars à novembre, pour venir y passer une nuit.
Entreprises mécènes :
La solitaire Le Figaro est une course à la voile, monotype, sans assistance, au temps, qui se dispute par étapes. Chaque étape constitue une course. En 2017, Bordeaux accueillait pour la 3ème fois le départ de cette course emblématique.
Entreprises mécènes :
Offrez une nouvelle jeunesse à Ulysse, Vénus et Rosa ! Trois statues, trois récits : un patrimoine bordelais à préserver.
Entreprises mécènes :
L’Université des Cheveux Blancs est un événement grand public regroupant des personnalités de plus de 60 ans autour de conférences, séances de dédicaces et autres animations.
Entreprises mécènes :
Le mobilier qui a été restauré se composait de tables, chaises, fauteuils, etc. qui étaient dans un état de dégradation avancé et parfois hors d’usage depuis plusieurs années.
Entreprises mécènes :
La Ville de Bordeaux a lancé cette démarche afin de soutenir la préparation des sportives et sportifs bordelais de haut-niveau pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Entreprises mécènes :
Les établissements culturels de la Ville de Bordeaux, qui sont les suivants : Bibliothèques, CAPC, MAAD (Musée des Arts Décoratifs et du Design), MBA (Musée des Beaux-Arts), MAQ (Musée d’Aquitaine), Muséum de Bordeaux Sciences et Nature et le Conservatoire ; font régulièrement du mécénat, que ce soit pour des expositions, de la médiation ou des acquisitions.